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"« Il faut offrir aux jeunes une éducation de qualité et une formation professionnelle adaptée à leurs besoins, car les citoyens en général et les jeunes en particulier ne peuvent s'intéresser à la vie démocratique si leurs besoins vitaux ne sont pas satisfaits. Des jeunes biens éduqués, biens formés qui trouveront des emplois qui leur conviennent, pourront ainsi mieux réfléchir et participer à la construction démocratique », suggère Liberty 32"

"Forte de son expérience de près de 15 ans dans le développement du dispositif de formation professionnelle au Maroc, l'AFD se positionne une nouvelle fois comme un acteur incontournable du secteur avec un prêt de 50 M€ et une subvention de 0,5 M€ pour appuyer l'adéquation formation / emploi. L'AFD participe ainsi, aux côtés de la BM et de la BAD, à améliorer l'adéquation des compétences produites et les besoins du marché du travail. Cette aide budgétaire sectorielle, vise également à faire levier sur des réformes garantissant une plus grande équité face au service public de l'emploi, notamment à l'égard de publics non diplômés, jusqu'alors non accompagnés par les services d'intermédiation. "

"La forte croissance démographique de l'Afrique va entraîner l'arrivée sur le marché du travail de dizaines de millions de jeunes, y compris ruraux. Il faut donc que les filières agroalimentaires absorbent une partie de ces nouveaux actifs. L'émergence des classes moyennes, l'urbanisation et le développement de la grande distribution vont créer des opportunités pour ces filières. Cependant, l'augmentation nécessaire de la productivité du travail en agriculture, pour accroître les revenus agricoles et réduire les inégalités, risque de détruire des emplois. L'enjeu est donc double : promouvoir un modèle de développement agricole à la fois productif, durable et inclusif ; d'autre part, exploiter les gisements d'emploi considérables, qui existent dans les industries d'amont et d'aval de l'agriculture. Ces évolutions exigent d'énormes investissements, publics comme privés, y compris dans la formation des jeunes."

"Au Mali, 18 000 jeunes arrivent sur le marché du travail chaque année. La situation économique en milieu rural les pousse à migrer vers les villes ou l'étranger où trouver un emploi s'avère une gageure tout aussi grande. Ce constat a conduit les pouvoirs publics à mettre en place une politique nationale de formation professionnelle agricole et rurale pour lutter contre l'exode rurale. Les MFR participent à cet effort. "

FEI met en œuvre le projet « Compétences Professionnelles Supérieures » depuis août 2012, sur financement du Ministère des Affaires Etrangères. A vocation régionale, ce projet a pour but de renforcer les formations professionnelles supérieures et de soutenir le développement des compétences intermédiaires (niveau bac +2-bac +3) dans 15 pays du Maghreb et d'Afrique sub-saharienne. Ce projet a démarré en août 2012. Il se décline en quatre composantes : (i) Réalisation d'Etudes sur l'insertion professionnelle des diplômés et les besoins des entreprises (ii) Soutenir, en Afrique sub-saharienne, la mise en place d'un pôle d'expertise régionale dans le domaine des formations supérieures professionnelles (iii) Au Maghreb, appuyer la formation professionnelle supérieure initiale, renforcer les compétences des diplômés chômeurs et le dialogue social (iv) Mutualiser les résultats entre les pays bénéficiaires : organisation de conférences régionales"

" Vous êtes ici Accueil » La 4ème Conférence des ministres en charge de l'Emploi et de la Formation professionnelle de l'espace UEMOA La 4ème Conférence des ministres en charge de l'Emploi et de la Formation professionnelle de l'espace UEMOA Cet Article est Indexé & Relayé par Journauxdubenin le mar, 09/07/2013 - 13:32 Actualité au Bénin La ville de Cotonou, capitale économique du Bénin, accueillera du 16 au 19 juillet prochain, la quatrième Conférence des ministres en charge de l'Emploi et de la Formation professionnelle de l'espace UEMOA sur le thème central "Insertion socioprofessionnelle des jeunes : stratégie et rôle du secteur privé", a-t-on appris samedi de sources officielles dans la métropole béninoise."

"Un outil de recherche permet de consulter les programmes nationaux et régionaux de formation proposés aux agents du ministère, qu'ils soient affectés dans les services centraux, déconcentrés ou en établissement d'enseignement agricole. Deux modalités de recherche vous sont proposées : par région et par critères (nomenclature, dates, structure organisatrice, mot-clé ou code action)."

Le Ministère de la formation professionnelle et technique et de l'emploi de Madagascar a sélectionné la proposition de trois partenaires techniques et financiers qui ont réuni leur expertise pour opérationnaliser la Politique nationale d'emploi et de formation (PNEF) sur un financement de 175 000 € octroyé par l'AFD pour 2016.

Selon une étude réalisée par le NEPAD et la FAO, près de la moitié de ce qui est pêché au Togo est perdu. Les raisons sont multiples: matériels obsolètes ou peu adaptés à une activité côtière, pas de chaîne du froid, absence de conservation, distances trop importantes entre les lieux de capture et de commercialisation. Les experts recommandent, dans un premier temps, la mise en place de petites unités de transformation à proximité des lieux de pêche et la formation des professionnels aux règles élémentaires d'hygiène. Fumer le poisson permet une meilleure conservation, mais à condition que le processus soit respecté. Le Programme national pour l'investissement alimentaire et de sécurité alimentaire (PNIASA) comprend un important volant pêche. D'après l'UEMOA, la pêche contribue à 4% du PIB du secteur primaire. Elle s'effectuent sur les plans d'eau maritime, lagunaire, fluviale, barrages et étangs piscicoles. Les estimations annuelles varient entre 12 000 et 17 000 tonnes. Ce secteur fournit environ 22 000 emplois répartis entre 10 000 pêcheurs (60% à temps plein) et 12 000 commerçantes et transformatrices de poissons. Tous ces emplois font vivre directement et indirectement environ 150.000 personnes. Néanmoins, la production ne permet pas de couvrir tous les besoins de la populations ainsi 60% des poisson sont importés.

Comme beaucoup de pays africains, le Sénégal est marqué par une population jeune à la recherche d'emplois et de salaires décents. Le rapport sur le dernier recensement national de la population sénégalaise publié tous les dix ans par l'Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD), révèle que la moyenne d'âge de la population est de 22 ans et qu'un Sénégalais sur deux a moins de 18 ans. Les moins de 15 ans représentent plus de 42 % de la population, dénotant clairement la prédominance des jeunes dans la population. Il s'agit néanmoins de la couche de la population la plus touchée par le chômage et le sous-emploi. Et les jeunes représentent 60 % des demandeurs d'emploi.

"Accroître l'impact des politiques d'emploi et de formation professionnelle sur la création d'emplois dans les territoires : leçons de l'expérience internationale."

"Trouver un emploi pour la jeunesse africaine est un combat permanent, tant pour les jeunes que pour les gouvernements. Ces dernières années, la croissance alarmante du chômage et du sous-emploi des jeunes, le développement de l'économie informelle et le faible niveau de productivité constituent les majeurs problèmes de tous pays africains."

"Cette station produit du gombo, des piments, de la tomate, de la salade, des concombres, de l'aubergine et emploie 1150 Jeunes en raison de 15 jeunes par hectares. Elle va aider les jeunes et les femmes de Boguédia à maîtriser la culture maraichère, afin d'en faire un métier. David Donicho Sékongo explique que cette station devra mettre fin à l'exode des jeunes. Il a réalisé un espace évènementiel de plus de 27 millions qui permet aux populations de se divertir à travers des prestations artistiques et culturelles ainsi qu'un centre de santé social composé d'une maternité, d'une salle de soin, de salles d'hospitalisation et d'une pharmacie sociale permettant aux malades de bénéficier de 80% de gratuité dans les soins."

Ce soutien à l'initiative Education for Employment témoigne de l'importance qu'accorde l'entreprise à la pertinence des compétences professionnelles. Accenture (NYSE : ACN) et les fondations Accenture ont versé une contribution de six millions de dollars à l'initiative Education for Employment (EFE) afin de soutenir le lancement de son programme Training for the Future, qui propose des formations qualifiantes en ligne et en classe à plus de 25 000 jeunes défavorisés en Espagne, au Maroc et en Tunisie.

"Le ministère d'Etat, ministère de l'Emploi, des affaires sociales et de la formation professionnelle en collaboration avec l'Association pour le développement de l'éducation en Afrique (Adea) organise un important séminaire les 8 et 9 juillet sur «Les cadres nationaux de certification». Au début des travaux, Amara Kamaté, conseiller du ministre d'Etat, Moussa Dosso, a situé sur les enjeux de cette rencontre. «Le Président de la république l'a dit, il faut qu'il y ait 1 million d'emplois pour les jeunes. Ceux pour qui on cherche des emplois sont les jeunes du système formel."

"Assistant technique résidentiel en appui à la préparation et à la mise en œuvre de la première phase de la composante « Formation Professionnelle » du PNEDU en soutien aux chantiers THIMO"

Piloté par l'IGAD dans le cadre du PRODIAG, ce projet vise à créer des activités génératrices de revenus en faveur des populations, dans un espace « foncier » sécurisé. Ce projet d'un coût global de 187 236 000 FCFA, permettra la création de près de 50 nouveaux emplois avec un chiffre d'affaires de 200 millions/an. Le projet ceinture verte d'Akanda permettra la création d'un périmètre agropastoral comprenant : 10 exploitations maraîchères irriguées de 1000 m² chacune avec une possibilité d'extension ; 3 exploitations d'élevage de 1500 poules pondeuses chacune ; 2 exploitations d'élevage de 1000 poulets fermiers chacun ; 1 verger d'espèces fruitières à cycle court (ananas, papaye, fruits de la passion…). Les exploitants seront sélectionnés, équipés et formés selon un parcours de professionnalisation qui à terme leur permettra d'atteindre une situation d'autonomie sociale et économique.

"Les fiches "diplômes" visent à analyser finement au niveau de chaque diplôme-option les poursuites d'études, l'insertion professionnelle et la relation formation-emploi. "

Au Sénégal, dans le Bassin arachidier, il est souvent difficile pour les jeunes des campagnes de trouver un emploi dans le domaine agricole. Pour y faire face et ainsi encourager l'inclusion des jeunes dans les filières agricoles, le Projet d'Appui aux Filières Agricoles (PAFA) a mis en place un important sous projet d'mploi jeune. Le projet accompagne ainsi les jeunes dans l'accès à la terre, aux semences certifiées et aux matériels agricoles. Les jeunes bénéficient également de formations pour le renforcement de leurs capacités

La Commission européenne a approuvé aujourd'hui 24 programmes de développement rural supplémentaires visant à améliorer la compétitivité du secteur agricole de l'Union, à préserver les campagnes et le climat, et à renforcer le tissu économique et social des communautés rurales pour la période allant jusqu'en 2020. Les programmes adoptés aujourd'hui devraient permettre de créer plus de 40 000 emplois dans les zones rurales et environ 700 000 places de formation. L'objectif est d'encourager l'innovation, le transfert de connaissances, des pratiques agricoles plus durables et une meilleure compétitivité des entreprises rurales. Le financement bénéficiera de 27 milliards d'euros provenant du budget de l'Union ainsi que d'un financement public au niveau national/régional et/ou de fonds privés.